Parole de l’un contre parole de l’autre : qui détient la vérité ? Et qui, le mensonge?

J’ai ouvert les actualités et je vois que nous sommes au coeur d’une guerre de désinformation. L’ère du mensonge… je suis perdue, je ne sais plus à qui me fier ! Comment placer ma confiance et même ma vie, si je me laisse décider par des personnes qui n’ont aucun scrupule à mentir ? Dois-je suivre leurs règles du jeu ? Pourquoi personne n’est-il choqué ? Déni ? Mes frères peuvent-ils se soulever ?

Mensonge et menteurs... Une sensation d'enfer au milieu duquel tu fais grandir ton ange...

C’est une juste question dont tu as déjà la réponse.
Loin en ton coeur, au delà de tes accords et de tes principes.
Tu sais, mais tu laisses au fond car tu as décidé que tu baserais ta vie sur ces principes. Tant que tu ne les déchausses pas, c’est à toi-même que tu mens. Et de ce voile, tu n’obtiendras aucune réponse.
Alors soulève ce pan de toi-même et regarde.

Dans ce monde pur et juste qui existe au delà de tout cela, y a t-il mensonge?
Dans cette vérité ultime qui décide de la vie, y a t-il mensonge?
Dans cette lumière qui anime la Vie, les hommes, tes frères et même dans le coeur de ces menteurs, y a t-il mensonge?

Tu vois que la beauté siège partout, que l’amour est maître en ce monde…
Pauses-toi et ressens ce courant qui inonde tout.
Il donne à celui qui est prêt à le suivre une force intérieure indétrônable.

Tu souris déjà et respires de cette joie retrouvée.

Maintenant que tu es rassurée, regarde le mensonge en face. Et vois.

Ce ne sont que des vues limitées, des actes petits de personnes qui se voient grandes en ce monde mais qui ne sont que des enfants capricieux.
Regarde leur énergie de plus haut : vois-tu, en eux, l’Amour ?
Vois-tu comment leur comportement égoïste bafoue cette énergie pure et primordiale ?
Ils sont dans un triste combat intérieur entre l’égo et la lumière…

Si tu vois et ressens réellement, c’est la compassion que tu vois poindre en ton coeur.

Regarde celui qui se place comme allié, adversaire, ou que sais-je… Regarde le de la même manière, avec la même hauteur. Ne vois-tu point la même adversité en son intérieur?

Que ce soit l’un, ou l’autre, celui qui clame la vérité et que l’autre traite de menteur, ils ont exactement la même énergie. Il n’y a pas de messie dans ce monde là, que des pauvres âmes en lutte avec un mensonge intérieur bien trop fort.

Je comprend que tu sois affectée. Quand je te demande de regarder, tu ressens où se situe la vérité.
Puis tu reprends ta vie que tu appelles normale et tu te sens de nouveau blessée.
Émotionnellement affectée.
Tant que tu placeras tes points de référence de vie dans l’égo des autres, tu le seras…
Car c’est ta part de mensonge.

Il y a la vérité profonde, le courant de vie magnifique et inimaginable, et il y a les règles que l’on s’impose, les accords auxquels nous donnons foi. Tant que ces accords sont réglés sur cette surface erronée que tes frères nomment réalité, tu seras blessée.
Physiquement, émotionnellement, intellectuellement.
Parce que ce sont des outils de ton incarnation et non des moteurs. Tu te trompes dans leur rôle.

Ne culpabilise pas, c’est normal, c’est ce qui t’a été appris.
Lorsque tu auras compris où placer tes accords, que tu auras recadré comment vivre cette vie, tu ne souffriras plus de ces mensonges.

Tu comprendras qu’il ne s’agit pas de croire l’un ou l’autre, mais ni l’un, ni l’autre.
Tu comprendras que ta seule vérité se situe devant la porte que tu ouvres, là où tes sens sont capables d’aller. Pas au delà.
La seule vérité est la vibration que tu captes. Pas celle que l’on te rapporte. Aussi juste soit-elle.

Tu me dis que des milliers de gens périssent du fait de ces mensonges et c’est un drame? Cette prise de conscience t’empêche de dépasser ce triste constat que tu as fait?
Je n’irai pas dans le pourquoi et comment cela arrive.
Je ne te demande pas non plus de faire du déni. Ceci est parce que cela est.

Mais, en ce qui te concerne, rester bloquée dans cette souffrance parce qu’il y en a de nombreuses victimes, c’est un accord. Un accord émotionnel que tu t’es donné.
Je ne dis pas de faire fi de tes émotions, c’est une superbe cadeau que le corps t’as donné.

Mais, comme ton intellect, ton émotion n’est pas maître de ta vie.
Elle n’est pas l’origine de ta manière d’évoluer en ce monde.
C’est avant tout et pour tout, tes accords.

Et le vrai mensonge est là, en toi :
Tu t’es donné pour accord de croire ce que te disent les médias, c’est à dire de croire des personnes que, si tu les rencontrais réellement, tu t’effraierais peut-être de ce qu’ils émanent. Ou peut-être pas. En fait tu ne le sais pas, mais tu places tout de même ta confiance en eux.
Pour justifier cet accord, tu vas le nourrir en faits et conséquences, en raisonnements mentaux.
Puis tu vas le napper d’empathie et de blessures émotionnelles.
Pour couronner le tout, tu vas plaider que tu es obligée, c’est la loi. Et que la loi est celle qui décide de ta vie.

Mais au fond, tu n’aimes pas ça.
Parce que c’est un mensonge, et que ton âme te le dit !

Tu aurais pu poser un tout autre accord. Tu le vois après tout dans ces hommes que je t’ai demandé de regarder : tu aurais pu accepter le mensonge comme un jeu, la souffrance humaine comme un mérite… tu aurais pu jurer à en mourir que la terre était plate !
Mais ton âme n’a pas besoin de cela. Elle a besoin d’accords qui la libèrent. Il est temps.

Alors reprend le travail des grands sages, et tente de les inscrire en toi : n’adopte pas et ne rejette pas. Ne juge jamais ce qui t’entoure pas plus que tu ne juges toi-même.

Ne bâti pas tes croyances sur des suppositions.

Ne construit pas de murs qui t’enferment, que ce soit en paroles ou en actes.

Avant d’agir, permets toi d’écouter un temps, aussi infime soit-il, la vibration que te procure un acte, une pensée, une observation. Redonne la maîtrise de ton incarnation à ton âme.

Et si tu ressens un blocage, assieds-toi et parle moi. Respire profondément, et extériorise ce qui te bloque. Parle, écris, tente de focaliser sur ce qui te peine et je t’aiderai à en trouver la réponse.

Je suis celui qui t’aide à te libérer. Je suis ta lumière intérieure.
Ici le mensonge n’existe pas.

Des créations qui résonnent avec ceT ENSEIGNEMENT

Faites preuve de non dualisme

Dans notre boutique, vous trouverez des talismans créateurs d’harmonie ou des bijoux dont les propriétés de sagesse peuvent vous aider à regarder les actualités de plus haut, sans dualisme, et de ne plus souffrir de tous ces mensonges

Voir toutes nos créations DE SAGESSE

Ce recul par rapport à nos accords, ce travail de détachement et dépassement du mensonge, C’est la vibration de Symphonie de guérison

«Cette pièce est un plastron protecteur qui chante.
Il chante la voix, il chante la joie.
Un langage délicat qui transmute et transperce.
Il reçoit l’appel de ses frères, le concentre et le transforme en mélodie unique
Réponse délectable
Indissociable du Tout
La Lueur du Soleil
  La chaleur des nuits d’été
  Le rythme des vagues
  La roche coupante…
  Tout y est absorbé.
L’expérience vivante y rentre et c’est un son incroyable qui en ressort :
Le chant qui protège, qui ouvre et qui espère
Le son enivrant où le mental se perd et se défait
La lame fine qui glisse dans la fissure et éclate les murs
L’onde aux facettes multiples qui défait les limites, dénoue les complexes afflictions et touche au coeur ce qui doit être,
Avec pure précision,
force et conviction
Le chant des sirènes où les douleurs se perdent
   Ne laissant en ce monde que les coeurs éveillés
   Libérant des entraves et délivrant les âmes pures
Réalisant ce qui avait été vu, le chemin qui était su.
Coeur qui bat et terrasse les illusions. .

Âm Nomade – Accompagnement écrit de la création « SYMPHONIE DE GUÉRISON »

Voir la création dans la boutique

Pour connaître les actualités de nos créations Âm Nomade, connectez-vous à notre page Facebook ou à notre Instagram !

mensonge mensonge mensonge mensonge mensonge mensonge mensonge mensonge mensonge mensonge mensonge mensonge mensonge mensonge mensonge mensonge

l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l

l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l